mardi 25 juin 2013

ITW RENO LOUCHART PEINTRE

Reno est un jeune peintre lillois, de 31 ans qui commence à faire son petit bonhomme de chemin dans sa région et même en Auvergne pour y avoir effectué un passage de quelques mois à Cérilly, suivons le au file de cette interview.

Reno qui es tu?

Ce que je suis , bien que j'ai du mal à me suivre.


Quelles études as tu faites?


J'ai une licence d'arts plastique et le DNSEP (diplome national superieur d'expression plastique).


Pourquoi la peinture?




C'est une question que je me pose moi même assez fréquemment. Ce qui n'était pas le cas il y a quelques années, aux premières tentatives.
Avant toute chose, on choisi la peinture parce que l'on aime ce qu'elle est.Son histoire, sa matière, son espace de recherche et de solution. On aime ce qu'elle est en tant que spectateur averti.
Tout spectateur averti ne devient pas peintre mais tout peintre en est un.
Ce medium me séduit particulièrement par ce qu'il a de plus archaÏque,et qu'appliquer une couleur sur une surface est une action plutôt étrange sachant qu'elle est présente depuis nos origines.
La peinture aussi nous propose une autre façon de regarder. A l'heure de l'immédiateté, elle demande du temps.
Pour le moment cette pratique correspond à mes idées plastiques mais de plus en plus le volume me fait réfléchir.

Quand Renaud est il devenu Reno?

Avec mes premières ventes, je trouvais cette signature plus pratique, plus élémentaire et plus violente.

Qui sont tes "maîtres"?

Je ne citerai uniquement que les plus intimes.
Francis Bacon et c'est déjà bien assez.Il y a 10 ans c'était Lucian Freud.
Peut-être dans 10 autres Patrick Sebastien...qui sait?

Quelles sont tes sources d'inspirations?

Je trouve mon inspiration juste après avoir expiré.
Mon travail trouve ses sources un peu partout où l'oeil se pose , je n'ai pas vraiment de plan de route, c'est en peignant que les Choses surgissent après le métier fait le reste . Le plus compliqué étant que ces Choses surgissent.

Dernière expo vu? Celle que tu recommande?

J'expose du 11 au 30 juillet 2013 à la Réserve Lille
je vous recommande cette exposition .

http://www.facebook.com/events/490666591002766/?ref=14

Dernier ouvrage lu? Celui que tu recommandes?

"ANISH KAPOOR" ouvrage édité en 2011 à l'occasion de l'exposition MONUMENTA au Grand Palais
je vous le recommande.
Je vous recommande également  la revue Syncope .

Dernier album écouté? Celui que tu recommandes?

The cave singers -"naomi" , je vous recommande arvo pÄrt " fur Alina".

Dernier film vu? Celui que tu recommandes?

La venus noire, je vous le recommande

Un parfum qui pourrait te faire peindre? Qui t'inspire?

Le parfum d'un billet de banque.

Merci beaucoup Reno, nous n'oublions ton expo à La Réserve à Lille du 10 au 30 juillet
http://www.facebook.com/events/490666591002766/?ref=14

Pour voir quelques oeuvres de l'artiste:
www.renaudlouchart.com

mercredi 19 juin 2013

"Kinetic Damage"

A l'heure où l'app store est devenu l'antre des portages de franchises sans aucune originalité, nous avons eu la chance d'interviewer un jeune créateur de jeu qui a conçu l'un des rares jeu de " baston " original pour téléphone portable : Kinetic Damage. Interview sans gants.

Peux tu te présenter et nous présenter Kinetic Damage ?

OUH DU CHILI ! Pardon ça me fait ça à chaque fois.
Bonjour CCC, donc je m'appelle Benjamin Marchand, 34 ans, développeur applicatif, et j'ai envie de
 dire principalement un gros geek mordu de jeux vidéos depuis l'âge de 8 ans 
(et tout commença avec la Master System...).
Kinetic Damage est un jeu de combat en 1 contre 1, dans la même veine que la plupart que vous connaissez,
 tels que Street Fighter, Mortal Kombat, Tekken, sauf que ... pas tout à fait ;)
 Vous pourrez ici créer votre combattant(e), son apparence, son art martial, afin de lui faire monter les marches
 du succès de manière évolutive. Au fil des 24 règles de combats différentes,
 allant des plus fun comme "Jacques a dit..." aux plus sérieuses comme "le Grand Tournoi",
 vos victoires vous rapporteront des crédits, qui eux-mêmes vous permettront d'acheter combos,
 coups spéciaux et vêtements. Vous pourrez même engager un partenaire entièrement piloté par l'intelligence
 artificielle complexe du jeu. Et vous pourrez même le coacher en live : "sois plus aggressif", "sois plus réactif
, plus analytique", sont le type d'ordre que vous devrez savamment doser, comme un vrai coach.
 Mon but avant tout était d'apporter un jeu simple à contrôler, abordable par tout le monde,
 mais aux mécaniques de jeu complexes. De telle sorte à ce que les joueurs qui veulent juste envoyer des pains
 pour se défouler y aient accès instantanément, mais aussi à ce que les hardcore gamers y trouvent  une grande
 profondeur de jeu. J'ai hâte de voir comment les stratégies vont s'organiser en multijoueurs.

 Faire un jeu de baston original sur mobiles et tablettes, c'est pas un peu suicidaire quand on sait
 que les meilleures franchises ont déjà été porté sur ses supports ? 

Je dirais même que c'est complètement débile. Mais ... la passion l'a emporté on dirait.
En fait, c'était un exercice très intéressant, car justement je savais qu'un jour ou l'autre de tels concurrents
 allaient arriver sur l'appstore (au démarrage du projet en 2009, il n'y avait aucun gros jeu de baston sur iOS).
 Il a donc fallu que j'anticipe très tôt au niveau de la rédaction du gamedesign.
 Ca s'est traduit par un contrepied sur les forces des licenses existantes : là où la plupart jouent
 sur des personnages fixes, et donc très populaires tels que Ryu, Sub-Zero ou les Mishima,
 j'ai donc choisi de proposer aux joueurs de créer leur propre héros. Et face aux gamedesign
 essentiellement portés sur l'éxécution de combos, j'ai choisi d'orienter le jeu haut niveau sur la décision
 et l'enchevêtrement de mécanismes de combat (saignements, fatigue, dégats localisés, coups critiques, etc).
 Les bases sont là, et ouvrent vers une grande possibilité d'extension pour chaque mécanisme,
 tout en restant indépendantes du terrain de jeu des autres licenses. En gros, je n'ai pas voulu concurrencer,
 mais apporter du nouveau.

 Plus de 4 ans à créer un jeu seul dans son appartement ça doit demander beaucoup de sacrifices
 et de courage.... On garde la motivation comment ? T'as défoncé ta cafetière ?
 Vider le stock de Red Bull de l'épicier du coin ? 

Sérieux j'ai déjà 34 ans ?? WTF ??
En fait, c'est un cercle vicieux : au début on se dit tiens, je vais essayer de faire un petit jeu avec 2 persos
 ... puis on voit que ça tourne bien, ça donne des idées, les retours sont positifs, d'autres idées viennent ... 
la barbe pousse, et hop 4 ans.
On m'a souvent posé cette question sur la motivation, et c'est un sujet assez récurrent chez les développeurs
 indépendants, beaucoup abandonnent en cours de route car ils voient le projet se complexifier,
 se ramifier, et pensent ne plus être à la hauteur ... 
Contre ça, j'ai deux versions : la première, façon Sergent Instructeur Hartman de Full Metal Jacket,
 qui dirait "Debout tas de punaises, arrêtez de vous demander si vous êtes capables de traverser ce pont
 alors que vous avez déjà commencé à y poser vos bottes. Plus vous regarderez en bas, 
plus vous allez faire dans votre froc, alors débranchez votre cerveau et avancez !"
Sinon, j'ai la version un peu plus user-friendly : réaliser son rêve le plus cher, tout donner pendant
 quelques années et peut-être changer sa vie, ça n'est faisable qu'une fois.
 Après avoir acquis suffisamment d'expérience, et avant que les devoirs familiaux ne prennent le dessus.
 30 ans est donc l'âge idéal pour faire le grand saut. On peut dire que c'était ma crise de la trentaine à moi.
Et le truc vachement pratique là-dedans, c'est que l'effort paie toujours !

Ton jeu semble à vocation évolutive, tu travailles actuellement sur des mises à jour,
 dans l'absolu Kinetic Damage va ressembler à quoi dans le futur ? 

 Excellente question ! Honnêtement, tout dépend de son succès commercial.
 J'aimerais par exemple engager un vrai artiste 3D pour refaire de beaux modèles,
 mais ça coûte beaucoup d'argent. Concernant le jeu en lui-même, j'ai encore des tonnes d'idées
 de coups spéciaux, de mécaniques, de combos, de règles de combat et autres trucs assez originaux,
 donc si les ventes me permettent d'en vivre (ou si un gros studio décide d'en faire un gros jeu),
 Kinetic Damage s'étendra sur les bases désormais posées. Mais dans l'idée, le gamedesign actuel
 n'a que très peu de limites.

Vu que Kinetic Damage est un jeu de baston et afin de mieux te connaître on finit par un petit QCM " Versus" :
Yeah come on ! (en tout bien tout honneur)

Nintendo vs Sega ? 

Dans mes mémoires d'enfant...Sega

Street Fighter vs les autres ?

Incontestablement Street Fighter. Le 4eme volet est un bijou de simplicité et de technicité.

Super Mario Vs Mario Balotelli ?

Super Mario car lui aussi sait frapper dans des ballons...enfin des tortues plutôt...

Batman vs spiderman ?

Batman, la force tranquille. Il a tellement la classe que même Georges Abitbol a pris des cours.

Bruce Lee vs Jackie Chan ?

Bruce Lee ! Le spectacle c'était sa façon de se battre et non l'inverse.

Electro vs Rock ?

Electro. Même si rien ne remplacera un bon gros morceau de Rock bien crade, je pense qu'il a fait son temps.
En Electro tout reste à découvrir.

Merci à toi

Merci à toi CCC !

Itw réalisé par Philippe Malpuech. Merci à lui.








mardi 18 juin 2013

"La Vie d'une Autre"


Dois je vraiment vous parler de film? Non parce que je me suis ennuyée!!!!!!!!!

C'est le premier film de l'actrice et écrivain Sylive Testud, et j'espère le dernier ou il faudra vraiment s'améliorer!
Tiré du livre du même titre de Frédérique Deghelt, avec Juliette Binoche, Mathieu Kassovitz, Aure Atika...

Marie 25 ans tombe amoureuse de Paul.
Après une nuit ensemble elle se réveille mais à 41 ans.
Etant devenue amnésique elle a tout oublié de sa vie d'avant, son mariage, son fils, son boulot.
Elle décide de tout faire pour sauver son couple.

Ce film est bâclé, un mauvais Marc Levy, c'est pour dire, moi qui est horreur de cet auteur.
Binoche en fait beaucoup.
On a aucune explication sur son amnésie, bref c'est chiant, nul, à ne pas voir! Inutile d'en dire plus.






lundi 17 juin 2013

"Laurence Anyways"

Film mélo dramatique, franco québécois, du jeune québécois de 24 ans Xavier Dolan.
Le film a été récompensé au festival du film de Toronto en tant que meilleur film, et il a reçu le grand prix au festival du film de Cabourg.
Xavier Dolan a été repéré durant le festival de Cannes en 2009 avec "Comment j'ai tué ma mère, et plus récemment avec clip "College Boy" qu'il a réalisé pour Indochine et qui a été interdit à la télévision française par le CSA.

Avec Melvil Poupaud, Suzanne Clément, Nathalie Baye, Monia Chokri...

Laurence (Melvil Poupaud) est prof de lettre et très amoureux de sa compagne Frédérique (Suzanne Clément).
Le jour de ses 25 ans il décide de lui avouer son mal être de vivre dans un corps d'homme et lui annonce qu'il veut devenir une femme.
Fred accepte très mal cette situation et tout ce qui en découle.
Laurence veut vraiment sauver sa relation avec Fred, mais elle arrivera à se détacher de lui.
Pourtant fou amoureux il reste tiraillé entre elle et son envie de changer de sexe.

Encore un film québécois avec The Cure en fond (nb "Café de Fllore") ils doivent être vraiment fans!

Le cinéma québécois revient sur les chapeaux de roues, ; je n'ai jamais accroché avec les films de Denys Arcand, je les ai toujours trouvé longs, lents et chiants.
Ici "Laurence Anyways" est très long, parfois peut être un peu trop, il dure 2h40' mais d'un grand esthétisme et totalement surréaliste.

Pour moi c'est le plus grand rôle de Melvil Poupaud,  une Nathalie Baye plus que touchante, et surtout j'ai découvert une grande comédienne: Suzanne Clément.

Petit détail qui m'a taraudé, le personnage principale avoue vouloir changer de sexe le jour de son anniversaire, qui est l'année de naissance du réalisateur. Quel est le message?

Je le recommande, mais attention, c'est long faut avoir de la patience, après le sujet du film n'est pas plus important que cela, c'est surtout une très belle histoire d'amour, je dirai même un témoignage d'amour.

Je tiens à vous rassurer, le film est sous titré quand les québécois parlent, il vaut mieux.



Midnight Juggernauts "Uncanny Valley"

Les Midnight Juggernauts, groupe australien indépendant de musique électro sortent aujourd'hui même leur 3eme album.
Ils étaient très attendus avec leur EP "Ballad of the War Machine", mais les voici avec une nouvelle chanson "Memorium" qui selon moi devrait faire un carton.
Ca ne devrait pas vous étonner si je vous dis qu'ils me font beaucoup penser au groupe Château Marmont,  car ces derniers on remixé leur fameux "Into the galaxy"de l'album "Dystopia"
C'est d'ailleurs avec ce titre que je les ai découverts.
Et devinez qui sont leurs fans? Daft Punk et Justice. C'est peut être grâce à leurs influences de New Order ou de OMD.
Midnight Juggernauts se fait d'abord connaître dans le monde de l'électro en remixant des groupes comme Presets ou Electric Six.
Je vais peut être vous choquer mais pour moi ils seraient un mélange de David Bowie, Bee Gees, Alan Parson et Daft Punk (à leur grande époque).
Avec l'album Dystopia, ils m'avaient tout de suite plu, mais là avec leur dernier opus ils m'ont conquise! J'affectionne particulièrement leur premier titre: "HCL".

Groupe à découvrir, album à écouter, et je dirai même mieux à acheter. Un rayon de soleil dans notre printemps pourrit!!!!



jeudi 13 juin 2013

"La Part des Anges"

Dernier film de Ken Loach, qui a reçu à Cannes en 2012 le Prix du Jury et fut nommé au César en 2013 dans la catégorie meilleur film.

Avec Paul Brannigan, John Henshaw, William Ruane....

Après avoir échappé à la prison Robbie, jeune papa poursuivi par son passé de voyou toxico, se retrouve avec Albert, Rhino et Mo pour effectuer des travaux d'intéret général.
Leur éducateur Harry leur apprend en cachette l'art du whisky.
Il s'avère que Robbie devient un très grand nez et un maître sachant identifier tous les whiskies  les plus exceptionnels.
Seulement n'est pas malfrat qui veut! Robbie décide avec ces acolytes de mettre son don au service  d'arnaques.

Film pas mal mais de là à lui donner le Prix du Jury je ne comprends pas.
Les acteurs sont bons, mais il manque quelque chose de plus humoristique, Ken Loach le touche du doigt mais préfère s'attarder sur les regrets de son protagoniste principal qui arrive du jour aux lendemain, après la naissance de son fils, à devenir un "bon garçon", on y croit pas une seule seconde.
Encore un réalisateur qui me déçoit,  je m'attendais à mieux de la part de Ken Loach.

Le saviez vous?
La part des anges est la part du volume d'un alcool qui s'évapore.



lundi 10 juin 2013



"To Rome with love"

Dernière comédie de Woody Alen, sortie en 2012, avec Roberto Benigni, Woody Allen, Penelope Cruz, Ellen Page, Alec Baldwin, Judy Davis, Jesse Eisenberg...

Jerry (W.Allen) et sa femme Phylis (J.Davis) se rendent à Rome pour faire la rencontre de leur futur gendre (un avocat "de gauche") et de sa famille.
Jack J.Eisenberg ("Social Network") jeune architecte tombe amoureux de Monica (E.Page) une vraie mythomane, qui n'est autre que la meilleure amie de sa fiancée,
Quant à Leopoldo (R.Benigni) devient lui sans savoir pourquoi une star internationale suivit par tous les médias.

Le film est tiré du recueil de Boccace Le Décaméron.

Film très très ennuyeux, on cherche durant out le film l'ambiance du célèbre réalisateur Woody Allen ainsi que son humour.
Les comédiens sont mal dirigés. Tout est téléphoné.
Qu'arrive t il à Woody Allen?
Ici il a voulu faire du cinéma à l'italienne comme Mario Monicelli ou du Ettore Scola ; malheureusement il ne les égale pas, il aurait du faire tout simplement du Woody Allen, être fidèle à lui même!








vendredi 7 juin 2013

"Le Grand Soir"

5eme film des deux grolandais Benoît Delepine et Gustave Kerven, qui a reçu à Cannes en 2012 le prix spécial du jury d'"Un Certain regard".
On y retrouve dedans Benoît Poelvoorde, Albert Dupontel, Brigitte Fontaine, Areski Belkacem, Bouli Lanners et pleins d'habitués comme Gérard Depardieu, Noël Gaudin...

Not (Benoît Poelvoorde) est le plus vieux punk à chien d'Europe, il arpente la zone commerciale avec son chien 8.6, là où travaille son frère Jean Pierre (Albert Dupontel) vendeur en literies ; ainsi que leurs parents Marie Annick (Brigitte Fontaine) et René (Areski Belkacem) qui tienne un restaurant de la chaîne "La Pataterie".
Le jour où Jean Pierre fait un "épuisement nerveux" suite à son divorce qu'il vit mal et à son licenciement ; il décide de suivre son frère pour vivre un road trip vers la liberté autour de la zone commerciale.
Leurs parents ne supportant plus leurs comportements décident de couper les ponts, en espérant qu'un jour ils deviennent adultes.

Ce film est tout simplement une satyre sociale, nous sommes bien loin des sketches de Groland,
Les personnages qui sont plus que marginaux peuvent nous sembler attachants, Brigitte Fontaine est un mère poule extra, Areski Belkacem un père aussi gamin que ses fils.
Je ne m'attendais pas à rire, le film n'est pas non plus présenté comme un film comique mais plus une peinture de la société, cependant je ne sais pas si je l'aurai regardé sans Poelvoorde qui arrive à bien porter le film, ; d'ailleurs en le voyant on a l'impression de sentir la 8.6.
Cependant je m''attendais à ce que les scénaristes soient beaucoup plus "punks" que cela, ici je les trouvent très politiquement correcte, Bertrand Cantat pour la bande originale est un peu cliché à mon goût tout comme l'apparition de Didier Vampas.
A voir pour Pooelvoorde et Brigitte Fontaine.